4 nov. 2010

Frizzy 1




J'ai marché. Dans la rugosité du ciel. Absorbé les nuages. Forme oblongue redescendue. Granuleux ne me reste que l'errance, enfance pâle, une place, une lumière dans le sombre de mon ventre. L'ouvrir de ses mille tortures dégénérer l'espace qui reste et vous cracher au visage l'encre noir. Animal marin. Jusqu'au vomissement impossible.
Il était temps que tu arrives. Noyé dans le sable noir.

Il faudrait peut-être courir Frizzy, étendre les bras jusqu'à l'arrivée, les comcombres de mer, eux, ne t'attendront pas.
Regarde ton ventre si lourd. Tu vas échouer. Tu es un caillou et tu vas échouer.

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