Ma peau ahurie des nerfs et les remontées acides, les organes en fibres.
Je souffre de mon corps mais perdre ta joie serait le pire
malheur.
J’ai rampé dans mes boyaux de chair
A chaque fois j’y remâche des restes
Obscurs et tes mains me repoussent de toutes leurs forces
vers notre lumière.
Et ta langue me redit la loi
de l’être qui se tient debout.
Je te veux collante. De peau et de cœur
Avec ton regard
T’embrasser dans les nuages
Je peux venir chez toi est une question de rêve
Tes mots sont un véritable cadeau.
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